JosephGoebbels, ministre de la Propagande d’Adolf Hitler, a dĂ©clarĂ© : « Dites un mensonge suffisamment grand et rĂ©pĂ©tez-le assez souvent et le monde entier le
L'article que vous avez lu sur le site des Echos » mettra en moyenne six fois plus de temps qu'une vulgaire fake news » pour toucher personnes. C'est l'une des conclusions d'une Ă©tude de trois chercheurs du prestigieux MIT Massachusetts Institute of Technology, publiĂ©e dans la revue Science » 1.Alors que les fake news inquiĂštent de plus en plus et que le gouvernement s'est emparĂ© du sujet, avec une loi en prĂ©paration,cette Ă©tude souligne la difficultĂ© Ă  lutter contre un phĂ©nomĂšne qui se propage trĂšs rapidement. Un sujet qui a aussi un impact direct sur l'Ă©conomie, comme en tĂ©moigne ce faux tweet sur une explosion Ă  la Maison-Blanche en 2013, faisant perdre au marchĂ© plus de 130 milliards de dollars !Les chercheurs ont analysĂ© informations circulant sur Twitter entre 2006 et 2017, et diffusĂ©es par plus de 3 millions de personnes. Ils ont fait la distinction entre vraie et fausse information, grĂące Ă  six organisations spĂ©cialisĂ©es dans le large publicLe verdict n'incite pas Ă  l'optimisme les fausses informations circulent bien plus rapidement que les vraies et touchent un plus large que les vraies informations sont rarement diffusĂ©es Ă  plus de personnes, certaines fake news » touchent jusqu'Ă  utilisateurs et sont davantage ce constat est encore plus marquĂ© pour les informations dans le domaine de la politique, bien plus que des mensonges sur le terrorisme, des catastrophes naturelles, des lĂ©gendes urbaines, le fait des botsLes spĂ©cialistes observent Ă©galement que, malgrĂ© ce qu'on pourrait croire, les fake news ne sont pas davantage propagĂ©es par des robots ou bots, c'est-Ă -dire des logiciels qui rĂ©alisent des tĂąches automatiquement sur Internet. Alors qu'on a beaucoup pointĂ© du doigt la technologie, les robots diffusent, en fait, les vraies et fausses informations, au mĂȘme rythme. La vitesse de propagation des fake news est le fait de tout un chacun. Pour lutter contre la dĂ©sinformation, les politiques favorisant les labels, par exemple, sont donc plus des explications Ă  la propagation des fausses nouvelles pourrait ĂȘtre leur caractĂšre de nouveautĂ©. Les personnes semblent plus enclines Ă  partager des informations nouvelles », soulignent les auteurs, dans la mesure oĂč celles-ci permettent d'actualiser notre comprĂ©hension du monde.1 Soroush Vosoughi, Deb Roy, Sinan Aral, The Spread of True and False News Online ».VIDEO. 'Fake news' que font les modĂ©rateurs, ces nettoyeurs du Web ?Comment affronter la montĂ©e des incertitudes ?Inflation, hausse des taux d’intĂ©rĂȘt, Ukraine et maintenant incertitude politique, les chocs se multiplient. Pour Ă©voluer dans un environnement de plus en plus complexe, l’expertise de la rĂ©daction des Echos est prĂ©cieuse. Chaque jour, nos enquĂȘtes, analyses, chroniques et Ă©dito accompagnent nos abonnĂ©s, les aident Ă  comprendre les changements qui transforment notre monde et les prĂ©parent Ă  prendre les meilleures dĂ©couvre les offres Cejeudi, il s'intĂ©resse Ă  une avancĂ©e en matiĂšre de lutte contre les fake news, une façon de "vacciner" contre la dĂ©sinformation. Ce matin, L'animal gĂ©ant a Ă©tĂ© dĂ©couvert sur un terrain de golf, Ă  Naples en Floride ce mercredi 11 novembre. ÉTATS-UNIS - La dĂ©couverte de ce reptile gĂ©ant n’a pas rassurĂ© tout le monde. Ce mercredi 11 novembre, un alligator d’une taille impressionnante a Ă©tĂ© aperçu en train de traverser un terrain d’un golf de Floride Ă  Naples aux États-Unis. Une vidĂ©o de cette scĂšne filmĂ©e par le joueur de golf professionnel Tyler Stolting est rapidement devenue virale. Bien que de nombreux internautes ont d’abord cru Ă  un montage vidĂ©o du fait de la taille dĂ©mesurĂ©e du reptile, Matt Devitt, un mĂ©tĂ©orologue de WINK News, a trĂšs rapidement confirmĂ© qu’il Ă©tait bien rĂ©el. Ce dernier a postĂ© des clichĂ©s de l’animal sur son compte Twitter, rapporte le Tampa Bay Times. “Une Ă©norme alligator en Floride. Oui ce monstre est vrai. Il a Ă©tĂ© filmĂ© pendant l’ouragan Eta Ă  Naples. Credit Jeff Jones WINKNews” “Je pensais que les photos Ă©taient fausses. L’alligator en Floride est Ă©norme.” “Cela semblait faux mais j’ai regardĂ© cette vidĂ©o” “Cela semble presque faux mais apparemment il y a une vidĂ©o de aussi!! J’en ai vu quelques uns dans les everglades mais bon dieu! C’est vraiment un alligator impressionnant” Cela n’a pas inquiĂ©tĂ© les experts Le directeur de la ferme d’alligators de St. Augustine a expliquĂ© Ă  nos confrĂšres de l’édition amĂ©ricaine du HuffPost que certes “peu de personnes sont amenĂ©es Ă  rencontrer des alligators de cette taille en revanche cela n’est pas anormal qu’un alligator se promĂšne dans ce genre d’endroit”. La preuve avec cet alligator dĂ©jĂ  repĂ©rĂ© sur un parcours de golf en 2019. Un autre spĂ©cialiste de ces reptiles, Brandon Fisher, qui travaille au parc Gatorland Ă  Orlando, soutient la position du directeur du zoo de St. Augustine. “De nos jours, tout peut ĂȘtre truquĂ© ou modifiĂ© d’une maniĂšre ou d’une autre”, mais “honnĂȘtement cela semble assez lĂ©gitime”. Ce dernier a Ă©galement prĂ©cisĂ© qu’une marche haute peut se produire lorsqu’un alligator se lĂšve avec “les jambes entiĂšres complĂštement Ă©cartĂ©es”, et que la jambe avant droite avance avec la jambe arriĂšre gauche, et vice versa. David Steen, chercheur sur les reptiles et les amphibiens au Wildlife Research Institute de Floride a dĂ©clarĂ© au HuffPost, via Twitter que “la taille rĂ©elle de l’alligator est difficile Ă  mesurer”. Pour certaines personnes il peut ĂȘtre difficile de se rendre compte de la taille rĂ©elle de l’animal en regardant la photo selon le chercheur, “l’alligator peut sembler plus gros qu’il ne l’est vraiment. Je pense aussi que beaucoup de gens n’ont pas pour habitude de croiser un tel animal marcher en plein air.” Enfin, il confirme l’avis de ses confrĂšres “Cette vidĂ©o n’a rien d’anormal. C’est un alligator de bonne taille prĂȘt pour une promenade” Aujourd’hui, il existerait environ deux millions d’alligators en Floride. Ces derniers sont rĂ©pertoriĂ©s comme Ă©tant menacĂ©s par le gouvernement fĂ©dĂ©ral. À voir Ă©galement sur Le HuffPost En Australie, ces nageurs et ces requins ont partagĂ© la mĂȘme balade dans un banc de saumons
traductiontout le monde a cru dans le dictionnaire Français - Portugais de Reverso, voir aussi 'à tout moment',à tout prix',du tout au tout',tout le monde', conjugaison, expressions idiomatiques
Aller au contenu / PubliĂ© le 6 avril 2018 Ă  11h49 À l’occasion d’une confĂ©rence sur les fake news organisĂ©e par le ministĂšre de Affaires ÉtrangĂšres, le cabinet BVA a rĂ©alisĂ© pour La Villa Numeris un sondage auprĂšs des Français pour connaĂźtre leur perception des fake news et les moyens envisagĂ©s pour les rĂ©guler. Internet, source principale d’information pour les moins de 35 ans Dans la journĂ©e du 21 au 22 mars, 1053 Français de 18 ans et plus ont rĂ©pondu Ă  un sondage portant sur les moyens utilisĂ©s pour s’informer. Il en est ressorti qu’Internet et la tĂ©lĂ©vision sont aux coude Ă  coude, avec 62% d’usagers qui clament s’informer par ces canaux. Toutefois les tendances ne sont pas les mĂȘmes selon les classes sociales et l’ñge des participants. Ainsi, pour les moins de 35 ans, Internet se rĂ©vĂšle ĂȘtre la source d’information la plus plĂ©biscitĂ©e avec 83% des rĂ©pondants, dont 72% de cadres. La tĂ©lĂ©vision reste cependant un autre canal fort d’information, notamment pour les ouvriers 88% et les seniors 77%. La radio occupe la troisiĂšme place du podium avec 49% d’auditeurs français 55% de 35-49 ans, 53% de CSP+ et de femmes. La presse papier continue d’essuyer la crise de son mĂ©dia avec 32% de lecteurs dont 50% de 65 ans et + et 36% de 50-64 ans. Un partage d’information sans vĂ©rifier la source Sur les rĂ©seaux sociaux, les Français sont 58% Ă  affirmer qu’ils partagent une information qu’ils trouvent intĂ©ressante. Certains ont mĂȘme le clic facile puisque 4% le font systĂ©matiquement et 15% le font souvent. Au sein de ces personnes qui partagent les informations, ils sont 59% Ă  le faire pour susciter l’intĂ©rĂȘt ou provoquer une rĂ©action auprĂšs de leur entourage mĂȘme s'[ils savent] que la source de cette information n’est pas parfaitement fiable . Toujours chez ces relayeurs d’informations 53% ne vĂ©rifient pas leur source. D’une maniĂšre globale ce sont donc entre 31 et 34% des Français qui partagent une information dont la source n’est pas vĂ©rifiĂ©e. La lutte contre les fake news en France L’étude de BVA entre ensuite dans le vif du sujet la perception des fake news par les Français. 75 % d’entre eux pensent avoir Ă©tĂ© confrontĂ©s Ă  une fake news sur Internet, dont 18% estiment avoir Ă©tĂ© induits en erreur par ce type d’information. Plus intĂ©ressant encore, les utilisateurs sont 82 % Ă  affirmer que le principal vecteur de fausse information sont les rĂ©seaux sociaux. 52 % estiment que les influenceurs comme les personnalitĂ©s mĂ©dia, journalistes et tĂ©lĂ©vision propagent des fake news, contre seulement 15% pensent que leur entourage en diffuse. 76 % ont globalement confiance dans les mĂ©dia traditionnels et 72 % font confiance Ă  leur entourage. Enfin, pour une bonne partie des Français, l’auto-rĂ©gulation des acteurs du marchĂ© n’est pas une solution pour lutter contre les fake news. 53% s’orientent vers une contrainte des plateformes Ă  dĂ©velopper des bonnes pratiques et 39% vers une dĂ©marche de prĂ©vention du public. Pour terminer, 76% des interrogĂ©s sont favorables Ă  la mise en place d’un autoritĂ© indĂ©pendante pour lutter contre les fausses informations. Les meilleurs outils productivitĂ© Une plateforme unique pour optimiser la gestion de tous vos projets DĂ©couvrir monday projects Une solution tout-en-un pour gĂ©rer vos clients, devis, factures, projets... DĂ©couvrir Axonaut Un CRM complet pour mieux gĂ©rer votre entreprise DĂ©couvrir Teamleader Recevez par email toute l’actualitĂ© du digital Trouver une formation crĂ©ation de site web CrĂ©er son blog et gĂ©nĂ©rer des revenus Educademy CrĂ©er son site avec WordPress, optimiser son SEO et trouver des clients CrĂ©ation de site web avec WordPress, tous niveaux Digitalix Formation Des cours particuliers pour apprendre Ă  crĂ©er son propre site internet CrĂ©ation d’un site internet WordPress L'AcadĂ©mie Formation Une formation courte pour crĂ©er un site WordPress Voir toutes les formations crĂ©ation de site web Accueil / Articles / Web / Fake news 53% des Français partagent des informations sans vĂ©rifier la source Recevez par email toute l’actualitĂ© du digital
Coronavirus: le top 10 des fake news les plus partagées sur les réseaux sociaux Dans notre série "le vrai du fake", nous avons recensé toutes ces fausses informations retrouvées sur la Toile.
Si vous trainez un peu sur les rĂ©seaux sociaux, ou Internet en gĂ©nĂ©ral, sĂ»rement avez-vous Ă©tĂ© confrontĂ© Ă  une ou plusieurs informations parfaitement crĂ©dibles
avant qu’elles ne soient dĂ©menties quelques heures, voire quelques minutes plus tard. Car sur Internet tout va trĂšs vite, trop vite. Par exemple, le weekend dernier, Internet annonçait le dĂ©cĂšs d’un acteur de la sĂ©rie Malcom ; annonce heureusement avĂ©rĂ©e erronĂ©e quelques heures plus tard. Exemple typique de fake news ou information volontairement fausse. iProtego vous propose de dĂ©couvrir plus en dĂ©tails ces fake news et comment apprendre Ă  les reconnaitre pour ne pas ou plus tomber dans le panneau. Les dangers de la fake news Fait erronĂ©, information mensongĂšre, rumeur voire thĂ©orie du complot
la fake news revĂȘt de trĂšs nombreux aspects. Avec pour point commun celui de n’ĂȘtre absolument pas fondĂ©e et partisante de la dĂ©sinformation. L’ùre du partage en masse LĂ  oĂč cette dĂ©sinformation est redoutable, c’est qu’elle se propage en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. En effet, quelques clics suffisent Ă  la fake news pour faire le tour de la TwittosphĂšre ou des murs d’actualitĂ©s Facebook. Mais les rĂ©seaux sociaux ne sont pas les seuls moyens de diffusion de la fake news ; comment ne pas parler des systĂšmes de messagerie instantanĂ©e ? A l’annonce d’une nouvelle choquante, nous sommes nombreux Ă  nous ruer sur notre smartphone pour faire part de l’information Ă  nos amis. SMS, MMS, mails, appels, Whatsapp et Skype sont autant de moyens utilisĂ©s permettant d’abolir les frontiĂšres gĂ©ographiques et d’échanger dans presque les 4 coins du monde. Quand on sait par exemple qu’en une minute, 156 millions de mails sont envoyĂ©s Ă  travers le monde, on a un aperçu vertigineux de l’ampleur que peut prendre une information, aussi fausse soit-elle. La fake news se prĂ©sente alors comme une vĂ©ritable arme idĂ©ologique car plus de personnes la croient, plus de personnes la croiront. Sans oublier le fait que certaines IA se basent davantage sur la popularitĂ© d’une information que sur son contenu rĂ©el ce qui est pour l’instant le cas de Google Assistant , contribuant sans le vouloir Ă  partager et faire connaĂźtre de la dĂ©sinformation
 Quand crĂ©dibilitĂ© rime avec viralitĂ© Car ce qui rend la fake news propice au partage, c’est Ă©galement sa crĂ©dibilitĂ© au plus l’information sera plausible et au plus sa source semblera sĂ©rieuse, au plus la fake news sera puissante aux yeux des internautes et se diffusera comme une trainĂ©e de poudre sur les rĂ©seaux sociaux et sur la Toile de maniĂšre gĂ©nĂ©rale. Mieux vaut donc s’assurer de vĂ©rifier ses sources avant de partager Ă  tout va, voire mĂȘme faire preuve de patience pour attendre d’avoir le recul et l’aval de sources fiables sur la news en question. Le fact checking pour lutter contre la fake news Afin de luter contre la fake news, diffĂ©rentes mesures ont vu le jour Des mesures proposĂ©es par diffĂ©rentes plateformes Face Ă  la montĂ©e en puissance des fake news et du danger qu’elles reprĂ©sentent pour les internautes, plusieurs plateformes en ligne ont d’ores et dĂ©jĂ  pris des mesures de riposte. Facebook a par exemple mis Ă  jour ses algorithmes Ă  plusieurs reprises pour mieux filtrer les sites dits de mauvaise qualitĂ© comprendre qui publient des articles de dĂ©sinformation afin de lutter contre les spams et cette dĂ©sinformation. Cela se traduit concrĂštement par une visibilitĂ© bien moindre de ce type d’articles dans les fils d’actualitĂ©s des usagers Facebook. Il est Ă©galement possible par les usagers de signaler Ă  la plateforme la prĂ©sence de contenus fake . Ainsi, si vous ĂȘtes tĂ©moin d’un article de dĂ©sinformation, vous pourrez le signaler en suivant la procĂ©dure expliquĂ©e ici Par ailleurs, certains mĂ©dias disposent d’outils de fact-checking extension DĂ©codex » chez Le Monde, Desintox » chez LibĂ©ration ou encore le vrai-faux » des Ă©chos L’Ɠil vigilant de l’internaute Tandis que les rĂ©seaux sociaux sanctionnent des plates-formes de fake news, d’autres se crĂ©ent temporairement pour propager la dĂ©sinformation ; on a lĂ  un vĂ©ritable jeu du chat et de la souris Entre ceux Ă©tant des mĂ©dias informatifs et ceux qui se veulent mĂ©dias informatifs mais ne disposant d’aucun autre fondement que leur mauvaise foi et leur volontĂ© de nuire. Donc, si l’on doit choisir un conseil Ă  suivre en particulier, c’est celui de vĂ©rifier constamment vos sources la source de mon information est-elle fiable ? L’info a-t-elle Ă©tĂ© relayĂ©e par d’autres sources fiables ? Depuis quand la source a-t-elle divulguĂ© l’information ? Car certaines infos s’avĂšrent ĂȘtre des fake news relativement rapidement, alors avant de bondir sur votre clavier ou votre smartphone pour partager l’info, armez-vous d’un peu de patience et ne tombez pas dans le panneau ! À propos Articles rĂ©cents
ï»żLesavancĂ©es technologiques (machine learning, analyse sĂ©mantique, contextuelle) profitent aussi bien aux pirates qui perfectionnent leurs techniques qu’aux mesures de dĂ©fense permettant de dĂ©tecter les menaces. Les fake news, tout comme les spams ou les hoaxs ont un caractĂšre illĂ©gitime. Les catĂ©goriser permettrait de les dĂ©tecter
Nous sommes quotidiennement confrontĂ©s Ă  de nouvelles informations. Lorsque nous n’allons pas les chercher nous-mĂȘme, ce sont elles qui nous parviennent. L’accĂšs Ă  l’information fait partie intĂ©grante de notre sociĂ©tĂ© que ce soit dans le domaine de la recherche ou de façon beaucoup plus large pour informer la population [..]. Ce travail est gĂ©nĂ©ralement admis comme Ă©tant celui des journalistes, mais depuis quelques annĂ©es la donne a quelque peu changĂ©e. En cause le libre accĂšs Ă  des informations non vĂ©rifiĂ©es postĂ©es en ligne. Dans cet ocĂ©an de nouvelles, tout n’est pas toujours avĂ©rĂ© et ces fausses informations, appelĂ©e Fake News » outre-Atlantique, portent en France depuis Octobre 2018 le nom d’Infox. Alors que dans le monde prĂšs de 9 personnes sur 10 admettent avoir dĂ©jĂ  cru Ă  une fausse information il convient de savoir se prĂ©munir contre ces infoxs. Voici donc quelques points permettant Ă  chacun de pouvoir se dĂ©fendre face Ă  l’assaut effrĂ©nĂ© des Fake News » qui tente de s’infiltrer et d’influencer nos dĂ©cisions 1] La prise de recul L’objectif principal d’une infox est d’ĂȘtre partagĂ©e, et pour cela elle est souvent rĂ©digĂ©e pour gĂ©nĂ©rer une rĂ©action immĂ©diate qui donne envie de la partager. L’auteur fait alors appel Ă  nos Ă©motions et bien souvent une prise de recul suffit Ă  Ă©viter de tomber dans la plupart des piĂšges tendus. En effet, nous avons plus tendance Ă  confirmer nos idĂ©es prĂ©conçues plutĂŽt que celles qui iraient dans un sens opposĂ©. En sciences cognitives on appelle ça le biais de confirmation. IndĂ©pendamment de notre dĂ©sir de croire ou non, il convient alors de se poser une simple question Cette info n’est-elle pas trop belle pour ĂȘtre vraie ? 2] Une recherche google image Lorsqu’une image nous semble fallacieuse, l’outil de recherche inversĂ©e de Google devient alors trĂšs utile. Pouvoir vĂ©rifier l’authenticitĂ© d’une image peut nous permettre de ne pas partager Ă  notre tour une fausse information. Il existe pour cela plusieurs options que le site anglais Common Sens Education explique trĂšs bien et mĂȘme si vous n’ĂȘtes pas Ă  l’aise avec l’anglais ce n’est pas un problĂšme, ce point parlant de visuel, l’essentiel est Ă  l’image. Explication en anglais par le site Common Sens Education 3] Les sites de Fact-Checking vĂ©rification d’informations A l’heure ou les fausses informations fusent, ou les infoxs sont utilisĂ©es comme argument politique, des groupes d’irrĂ©ductibles dĂ©fenseurs de l’exactitude ont entrepris un projet fou RĂ©tablir la vĂ©ritĂ©. Et c’est ainsi que plusieurs outils ont vu le jour. Créés par les site d’informations les plus reconnus, ces pĂŽles de justiciers de la vĂ©racitĂ© s’attelle chaque jour Ă  dĂ©monter et Ă  remettre en contexte toute fake news » susceptible de nous tromper. En France, on peut compter sur Les Observateurs », Les Decodeurs » et leur outil Le Decodex ou encore CheckNews » du journal LibĂ©ration. Pour les utilisateurs de Twitter, certains comptes ont fait du Fact-Checking une prioritĂ©, des comptes que je recommande vivement de suivre, comme par exemple FAKE_Investiga, AfpFactuel ou encore 20minFakeOff. Pour un Ă©tudiant en recherche, la vĂ©rification d’information fait partie intĂ©grante de la formation, mais ce qui est pour nous un rĂ©flexe ne l’est peut-ĂȘtre pas pour tout le monde. Partant du postulat que savoir, c’est pouvoir il est aujourd’hui plus que jamais important d’ĂȘtre capable de se prĂ©munir contre ceux qui chercheraient Ă  nous manipuler que ce soit Ă  des fins Ă©conomiques comme politique. Restez bien informĂ©s! Navigation des articles Le carnet du master LLCER Anglais et Espagnol de Poitiers
\n fake news que tout le monde a cru
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