KarimAchoui, visĂ© par une enquĂȘte pour «exercice illĂ©gal de la profession d'avocat», doit ĂȘtre conduit jeudi soir au palais de justice de Paris en vue d'une possible mise en examen, a-t-on
PubliĂ© le 21 septembre 2017 Ă  20h58 ModifiĂ© le 21 septembre 2017 Ă  21h16 Photo d'archives / François Destoc / Le TĂ©lĂ©gramme Karim Achoui, visĂ© par une enquĂȘte pour "exercice illĂ©gal de la profession d'avocat", doit ĂȘtre conduit jeudi soir au palais de justice de Paris en vue d'une possible mise en examen, a appris l'AFP de source judiciaire. L'ancien avocat avait Ă©tĂ© placĂ© en garde Ă  vue mercredi matin dans le cadre d'une enquĂȘte prĂ©liminaire ouverte par le parquet de Paris pour "exercice illĂ©gal de la profession d'avocat" et "abus de confiance". Karim Achoui doit ĂȘtre prĂ©sentĂ© vendredi matin au parquet de Paris dans le cadre de l'ouverture d'une information judiciaire, puis Ă  un juge d'instruction en vue de sa mise en examen. L'avocat des figures du grand banditisme Connu pour avoir dĂ©fendu des figures du grand banditisme, Karim Achoui a vu son nom apparaĂźtre dans plusieurs affaires, dont l'Ă©vasion en 2003 d'Antonio Ferrara. SoupçonnĂ© dans ce dossier de complicitĂ© d'Ă©vasion, il a Ă©tĂ© condamnĂ© en premiĂšre instance Ă  sept ans de prison, avant d'ĂȘtre acquittĂ© en 2010 en appel. RadiĂ© dĂ©finitivement en 2012 du barreau de Paris, notamment pour "manquements dĂ©ontologiques", il avait prĂȘtĂ© serment Ă  Alger dĂ©but 2015. En janvier 2016, il avait Ă©tĂ© autorisĂ© Ă  dĂ©fendre Ă  Paris le chanteur Jean-Luc Lahaye dans son procĂšs l'opposant Ă  l'artiste Julie Pietri. L'ancien avocat prĂ©side la Ligue de dĂ©fense judiciaire des musulmans qu'il a lancĂ©e en 2013 pour "lutter contre les discriminations islamophobes".
LaChambre criminelle de la Cour de cassation a toutefois jugĂ© que constituait le dĂ©lit d’exercice illĂ©gal de la profession d’avocat, le fait pour des sociĂ©tĂ©s d’intervenir en tant qu’intermĂ©diaire pour des placements financiers rĂ©alisĂ©s par des particuliers (Cass. Crim. 1er dĂ©cembre 2004, n° 03-85.553) alors mĂȘme que dans
L'ancien avocat Karim Achoui au tribunal de Melun, le 2 fĂ©vrier 2016LIONEL BONAVENTURE Karim Achoui, visĂ© par une enquĂȘte pour "exercice illĂ©gal de la profession d'avocat", doit ĂȘtre conduit jeudi soir au palais de justice de Paris en vue d'une possible mise en examen, a-t-on appris de source judiciaire. L'ancien avocat avait Ă©tĂ© placĂ© en garde Ă  vue mercredi matin dans le cadre d'une enquĂȘte prĂ©liminaire ouverte par le parquet de Paris pour "exercice illĂ©gal de la profession d'avocat" et "abus de confiance". Karim Achoui doit ĂȘtre prĂ©sentĂ© vendredi matin au parquet de Paris dans le cadre de l'ouverture d'une information judiciaire, puis Ă  un juge d'instruction en vue de sa mise en examen. Connu pour avoir dĂ©fendu des figures du grand banditisme, Karim Achoui a vu son nom apparaĂźtre dans plusieurs affaires, dont l'Ă©vasion en 2003 d'Antonio Ferrara. SoupçonnĂ© dans ce dossier de complicitĂ© d'Ă©vasion, il a Ă©tĂ© condamnĂ© en premiĂšre instance Ă  sept ans de prison, avant d'ĂȘtre acquittĂ© en 2010 en appel. RadiĂ© dĂ©finitivement en 2012 du barreau de Paris, notamment pour "manquements dĂ©ontologiques", il avait prĂȘtĂ© serment Ă  Alger dĂ©but 2015. En janvier 2016, il avait Ă©tĂ© autorisĂ© Ă  dĂ©fendre Ă  Paris le chanteur Jean-Luc Lahaye dans son procĂšs l'opposant Ă  l'artiste Julie Pietri. L'ancien avocat prĂ©side la Ligue de dĂ©fense judiciaire des musulmans qu'il a lancĂ©e en 2013 pour "lutter contre les discriminations islamophobes".

Toutefois ne constitue pas un exercice illĂ©gal de la profession d’avocat au sens de l’article 133, le fait pour un membre d’un barreau constituĂ© hors du QuĂ©bec de s’associer pour l’exercice de la profession Ă  un avocat ou de partager avec ce dernier, de quelque maniĂšre ou par quelque moyen que ce soit, le bĂ©nĂ©fice d’honoraires ou de gains professionnels.

Cf. Cass. Crim., 30 janvier 2013 Un masseur-kinĂ©sithĂ©rapeute a tentĂ© d’escroquer l’Assurance Maladie en Ă©tablissant de fausses ordonnances mĂ©dicales prescrivant ainsi des actes de kinĂ©sithĂ©rapie. Il pouvait alors adresser ces faux documents Ă  l’assurance maladie pour obtenir le rĂšglement des actes fictifs supposĂ©s prescrits par un mĂ©decin et soit-disant rĂ©alisĂ©s par lui-mĂȘme. Or, un masseur-kinĂ©sithĂ©rapeute n'a pas le droit de prescrire. Dans le cas contraire, il pourra ĂȘtre poursuivi pour exercice illĂ©gal de la mĂ©decine, peu importe que ces prescriptions soient ou non honorĂ©es. Sanctions Condamnation pour escroquerie et exercice illĂ©gal de la mĂ©decine. Selon la Cour, le fait de falsifier des prescriptions mĂ©dicales constitue l'Ă©lĂ©ment matĂ©riel du dĂ©lit d'exercice illĂ©gal de la mĂ©decine, et cela mĂȘme si ces prescriptions n’ont pas vocation Ă  ĂȘtre exĂ©cutĂ©es, mais seulement Ă  donner lieu au paiement par les caisses ». Cela est logique dans la mesure oĂč l’article L. 4161-1 du code de la santĂ© publique disposer 1° Toute personne qui prend part habituellement ou par direction suivie, mĂȘme en prĂ©sence d'un mĂ©decin, Ă  l'Ă©tablissement d'un diagnostic ou au traitement de maladies, congĂ©nitales ou acquises, rĂ©elles ou supposĂ©es, par actes personnels, consultations verbales ou Ă©crites ou par tous autres procĂ©dĂ©s quels qu'ils soient, ou pratique l'un des actes professionnels prĂ©vus dans une nomenclature fixĂ©e par arrĂȘtĂ© du ministre chargĂ© de la santĂ© pris aprĂšs avis de l'AcadĂ©mie nationale de mĂ©decine, sans ĂȘtre titulaire d'un diplĂŽme, certificat ou autre titre mentionnĂ© Ă  l'article L. 4131-1 et exigĂ© pour l'exercice de la profession de mĂ©decin 
 ». L’une condition pour qu’une personne soit condamnĂ©e pour exercice illĂ©gal de la mĂ©decine est que le non-mĂ©decin accomplisse des actes rĂ©servĂ©s aux mĂ©decins. La rĂ©daction d'une ordonnance est une des prĂ©rogatives du mĂ©decin, et non du kinĂ©sithĂ©rapeute. Mais ces prescriptions n'Ă©taient pas suivies d'effet, puisque le kinĂ©sithĂ©rapeute ne dispensait pas les soins et que les patients n’étaient bien Ă©videmment pas au courant de ces manigances. Il est condamnĂ© par la Cour de cassation qui estime que mĂȘme si l’acte mĂ©dical prescrit n’a pas Ă©tĂ© honorĂ©, il s’agit d’un exercice illĂ©gal de la mĂ©decine. Cette dĂ©cision reste nĂ©anmoins isolĂ©e donc on ne sait pas aujourd’hui si celle-ci viendra Ă  ĂȘtre prononcĂ©e une nouvelle fois.
Commela mission des ordres professionnels est de protĂ©ger le public, ces derniers n’hĂ©sitent pas Ă  porter plainte contre une personne qui exerce illĂ©galement une profession. L’équipe de Bernier Fournier est en mesure de reprĂ©senter au mieux les intĂ©rĂȘts d’une personne visĂ©e par une poursuite pour exercice illĂ©gal de la profession.
L'ancien avocat Karim Achoui au tribunal de Melun, le 2 fĂ©vrier 2016 / AFP/Archives L'ancien avocat Karim Achoui a Ă©tĂ© mis en examen vendredi pour "exercice illĂ©gal de la profession d'avocat", a-t-on appris de source judiciaire."PrĂ©sentĂ© Ă  un juge d'instruction vendredi Karim Achoui a Ă©tĂ© mis en examen pour exercice illĂ©gal de la profession d'avocat et abus de confiance", a dĂ©clarĂ© cette source. Il a Ă©tĂ© par ailleurs placĂ© sous le statut plus favorable de tĂ©moin assistĂ© pour des faits d'escroquerie et un magistrat a ordonnĂ© un contrĂŽle judiciaire, a prĂ©cisĂ© la source par une enquĂȘte prĂ©liminaire ouverte par le parquet de Paris, Karim Achoui avait Ă©tĂ© placĂ© en garde Ă  vue mercredi pour avoir dĂ©fendu des figures du grand banditisme, Karim Achoui a vu son nom apparaĂźtre dans plusieurs affaires, dont l'Ă©vasion en 2003 d'Antonio Ferrara. SoupçonnĂ© dans ce dossier de complicitĂ© d'Ă©vasion, il a Ă©tĂ© condamnĂ© en premiĂšre instance Ă  sept ans de prison. Il a Ă©tĂ© acquittĂ© en 2010 en dĂ©finitivement en 2012 du barreau de Paris, notamment pour "manquements dĂ©ontologiques", il avait prĂȘtĂ© serment Ă  Alger dĂ©but 2015. En janvier 2016, il avait Ă©tĂ© autorisĂ© Ă  dĂ©fendre Ă  Paris le chanteur Jean-Luc Lahaye dans son procĂšs l'opposant Ă  l'artiste Julie avocat prĂ©side la Ligue de dĂ©fense judiciaire des musulmans qu'il a lancĂ©e en 2013 pour "lutter contre les discriminations islamophobes".

En2011, sa représentante, le bùtonnier, Paola Bellotti, a déposé six plaintes, à l'encontre de personnes physiques ou sociétés, pour exercice illégal de

PAPEETE, le 15 novembre 2016 - Le patron de la sociĂ©tĂ© Maxima, créée en 2007 Ă  Papeete, a Ă©tĂ© blanchi ce mardi des accusations d'exercice illĂ©gal de la profession d'assureur, dans un dossier qui a surtout mis en lumiĂšre les errements hĂ©ritĂ©s des transferts de compĂ©tence de l'Etat Ă  la PolynĂ©sie française en 2004. Le tribunal correctionnel a relaxĂ© des accusations d'exercice illĂ©gal de la profession d'assureur, ce mardi, un sexagĂ©naire reconverti en 2007 dans le secteur des assurances en PolynĂ©sie française avec sa sociĂ©tĂ©, Maxima. Une victoire pour cet entrepreneur de 64 ans dont les affaires, avant de connaitre une tournure pĂ©nale, avaient depuis 2009 occupĂ© les juridictions administratives, jusqu'au Conseil d'Etat. Une joute procĂ©durale entreprise par les affaires Ă©conomiques du pays, qui lui reprochait de continuer Ă  exercer sa profession d'assureur malgrĂ© le retrait de son agrĂ©ment en avril 2009 par le prĂ©sident Temaru, alors mĂȘme que son prĂ©dĂ©cesseur, Gaston Tong Sang, le lui avait accordĂ© un an plus tĂŽt. Le transfert de compĂ©tences en matiĂšre d'assurances dĂ©volu Ă  la PolynĂ©sie française dans le cadre de la loi organique 2004 n'ayant pas Ă  l'Ă©poque -et toujours pas Ă  ce jour- donnĂ© lieu Ă  signature de convention ou Ă  l'Ă©laboration d'une loi du pays pour le formaliser, le prĂ©sident du territoire reste en effet, par dĂ©faut, le seul Ă  dĂ©cider in fine. "Je m'estime complĂštement propre" Un revirement prĂ©sidentiel qui a plongĂ© Jean-Yves GuĂ©rin, c'est son nom, dans une situation ubuesque. L'assureur s'est retournĂ© vers les organismes de rĂ©gulation de la profession en mĂ©tropole qui lui ont confirmĂ© leur incompĂ©tence Ă  dĂ©livrer le prĂ©cieux agrĂ©ment, en dĂ©pit de l'absence de rĂ©glementation prise par la PolynĂ©sie française en la matiĂšre. Par la suite, toujours sous la menace du pays et malgrĂ© son engagement Ă  ne pas prendre de nouveaux clients, le patron s'est retrouvĂ© dans l'obligation lĂ©gale de gĂ©rer et de suivre jusqu'Ă  leur terme les dossiers de contentieux dĂ©jĂ  ouverts, des dossiers dont le rĂšglement s'Ă©tend parfois des annĂ©es. "Je m'estime complĂštement propre, j'ai pris le temps, je me suis entourĂ© de conseils, mais encore aujourd'hui on ne peut pas obtenir l'agrĂ©ment, sauf du prĂ©sident du pays, en matiĂšre d'assurances", a calmement expliquĂ© le sexagĂ©naire Ă  la barre. "On a dĂ©posĂ© le dossier, on a tout fait positivement, dans les rĂšgles, mais le problĂšme c'est que le transfert de compĂ©tences vers la PolynĂ©sie française n'a pas Ă©tĂ© suivi de la mise en place d'une structure. Il y a eu transfert, mais il n'y a pas la compĂ©tence. L'intĂ©rĂȘt est pourtant mutuel, mon cas aurait pourtant permis la mise en place de cette compĂ©tence pour la PolynĂ©sie française
 Ou alors c'est qu'ils ne veulent pas". Selon un observateur du dossier, la totalitĂ© des sommes provisionnĂ©es dans le secteur des assurances en PolynĂ©sie française s'Ă©lĂšveraient Ă  25 milliards de francs, une manne qui faute de rĂ©glementation locale s'Ă©chapperait dans des siĂšges sociaux Ă  l'Ă©tranger.
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